Bonjour à tous,
Elédahiel, il y a encore le petit garçon du camp de concentration…
« Il a été sauvé par un nazi, tu te souviens ? Dans cette vie, tu as permis à cet homme d’ouvrir à nouveau son cœur, d’une autre manière. »
Et il est mort à quel âge ?
« Le nazi ? »
Le petit garçon ?
« Dans sa vingtaine des suites d’un accident domestique. C’était prévu ainsi. »
Pourquoi il y a encore le petit garçon au regard désespéré…
« Tu ne connais pas le lien entre la jeune femme qui vivait au temps de l’esclavage et ce petit garçon ? »
Si. Je sais que le nazi qui a sauvé le petit garçon était autrefois l’esclave qui avait violé la jeune fille.
« Il est possible de faire la paix avec un lointain passé. Tu connais la guérison par l’accueil de ses vies antérieures ? »
Comment connaitrais-je cela ? Et tu as abaissé mon taux vibratoire, Elédahiel. Comment vais-je canaliser des énergies de guérison ?
« Je suis là. Donc, tu ne connais pas cette méthode ? »
Non, je devrais ?
« Le petit garçon a vécu à peine plus longtemps que la jeune fille qui s’était suicidée. Il n’est pas facile de vous remettre d’une blessure de trahison.
Il faut parfois que l’un accepte de donner une chance à l’autre.
C’est la jeune fille qui avait été blessée physiquement. Par une personne qu’elle avait elle-même blessée émotionnellement.
Le camp de concentration donnait l’occasion à l’un comme à l’autre d’apprendre à faire confiance à nouveau.
Dans un tel contexte, les choix sont vite limités.
Les deux se sont donnés une chance de développer une belle relation. Les deux ont survécu à la guerre.
Aujourd’hui tu travailles, tu fais tes choix librement. En fait tu jouis d’une liberté peu courante pour une femme de ton âge et de ton milieu social.
Autour de toi, tu en as parlé maintes fois, les contraintes orientent les choix des unes et des autres.
Toi, tu en as bien peu en comparaison.
Tu ne connais ni charge mentale ni seconde journée. Il n’y a jamais d’urgence en dehors du travail et les décisions personnelles peuvent se prendre sur un simple coup de tête.
Tu ne fais pas partie de celles qui jonglent et qui aimeraient que chaque journée fasse 36h.
Tu as déjà réalisé que ce n’est pas ton pouvoir d’achat qui t’intéresse le plus et que tu voudrais conserver si tu changeais de vie.
Tu voudrais pouvoir conserver cette même liberté.
Peu de personnes autour de toi ont conscience que c’est cela qui te plait dans ta vie. »
Les gens croient que je m’accroche à mon pouvoir d’achat. C’est grâce à leurs nombreuses remarques que j’ai pris conscience que les leurs étaient moins élevés.
« Et si tu devais renoncer à cette liberté ? »
Pourquoi renoncerais-je ? Je n’embête personne moi. Je vis tranquillement, je fais ce que j’ai à faire. Pourquoi renoncerais-je ?
« Pourquoi y renoncer ? Pourquoi pas ? Si certaines circonstances changeaient. »
On n’y est pas. J’aviserai.
« Non ma douce enfant. Tu n’aviseras pas. Tu feras un choix, nous verrons lequel.
Parfois, il faut savoir donner. Peu importe ce qu’il y a à recevoir.
Chacun ne peut donner que ce qu’il est. Et nul ne peut tricher avec ce qu’il est.
Un jour, vous êtes amenés à comprendre ce qu’est vraiment le Choix.
Hors de tout contexte favorisant la compréhension.
Ces vies antérieures, que t’ont-elles laissé ?
As-tu compris ce qu’est aimer, accepter, accueillir et pardonner ?
Tu vas le savoir, vous êtes tous amenés à le savoir.
Et si la compréhension ne se fait pas, il est possible de solliciter ses souvenirs.
Par contre, pas n’importe comment. Inutile de revoir certains passages.
Les messages suffisent. Ils peuvent apparaitre dans des rêves, au fil de vos lectures, vous frapper via un film, une discussion…
Il est possible de solliciter et de laisser venir ensuite.
Mais tu as revu le petit garçon et tu vois, je t’ai répondu sur la question.
Pas de panique donc, je suis toujours là. »
Merci Elédahiel.
Bonne journée à tous 
Anna
13 juillet, 2018 à 7:01
Youhouhou ! J’en tiens une scène
Ah le pouvour de la parole !
Il se trouve que c’est une scène que ma mère m’a raconté qu’elle a vécu tandis que j’étais enceinte d’elle….oups ! Qu’elle était enceinte de moi
Lapsus scriptural. J’adore . Tout est dit par lui de ce que je pense de qui victime ? qui agresseur ? et leur subjectice définition.
je n’ai pas eu accès a des vies antérieures je sais l’impact des blessures de trahison sur plusieurs générations.
Bise
Anna
13 juillet, 2018 à 6:46
Merci Sylvie. Oui c’est cela ! Je me permets de déplier mes méninges ici du coup.
J’ai senti combien c’est une blessure particulière et l’atteinte profonde et la trace qu’elle peut laisser en soi en te lisant. Je l’ai senti et le sent encore dans mon ventre. C’est là que se loge le sentiment d’ingratitude et d’impuissance chez moi.
J’ai réalisé en même temps qu’il y a moyen. Il est possible de briser un cycle pour qu’elle cesse de se perpétuer et que j’ai un profond désir de le briser dans cette vie ! Je voyais même si de façon encore floue que je pourrais y parvenir.
Je ne comprenais pas tout de ces liens dont tu parles. J’ai même fait un dessin le soir genre arbre généalogique pour m’y retrouver dans ces vies antérieurs sans y parvenir. J’ai laissé tombé et suis revenue a mon expérience et à l’émotion du matin que cette lecture m’a fait toucher.
Il n’y a pas dans même une seule vie une seule trahison la première se perpétue et la question de qui est la victime ? qui est l’agresseur ? ( quand on veut bien sortir des notions de bien et mal) n’est pas si simple et se complexifie au cours du temps et des trahisons.
Une amie la veille, afin de se faire la main, m’avait proposé de me faire une séance d’EMDR. Elle me demandait de réfléchir à une scène a évoqué pour notre rdv. Je plaisantais disant que j’en avais des tonnes mais le moment de m’y pencher sérieusement je n’en voyais aucune. Alors qand j’ai lu ce récit je me suis dit : tiens ! une scène de blessure de trahison c’est ce que je me DOIS d’évoquer (comme dit Passeuse car la plus grand des trahisons c’est celle qu’on se fait à soi-même). Je me dois de saisir l’occasion de la panser et profiter de l’offre de cette amie. Et là, quand je m’y penche impossible de trouver une scène. Je réalisais que ça faisait un peu comme ton récit : des ricochets. Puis je me suis dit peu importe la scène. Pas nécessaire que ce soit la plus marquante. La plus anodine fera l’affaire car toutes sont prises dans le même cycle de la blessure de trahison. Bon je cherche encore la scène lollll j’ai un manque de rancune et le pardon tellement facile que ça ne fait pas trace dans mon esprit mais dans mon coeur c’est certain ! Je vais trouver car ce qui surtout m’ a touché c’est comme j’écrivais ce que sa guérison permet et sur quoi elle ouvre. D’autres guérison sont salutaires mais par ton récit je réalisais émotionnellement en même temps que sa longue et complexe guérison qu’elle n’est pas incurable et que sans doute ce sera celle qui m’ouvrira et me fera accéder à l’amour auquel j’aspire.
Je ne mise pas tout sur une séance EMDR d’autant qu’on a dû repousser le rdv. Je mise tout sur cette prise de conscience dont je te remercie de l’avoir initiée par ce magnifique recit de vies.
Je t’embrasse.
Anna (plus de pseudo…au fait je voulais te dire Camille c’est mon second prénom de naissance)
crystallia
13 juillet, 2018 à 20:43
Salut,
Il est possible de briser un cycle oui, un cycle qui constitue un nœud, c’est le propre de la guérison.
La blessure de trahison fait perdre foi en l’amour et empêche d’avoir suffisamment confiance en son partenaire pour le laisser prendre sa vraie place dans notre coeur.
Alors c’est sûr on est mieux sans !
Je te souhaite une belle prise de conscience Anna.
Passeuse, j’ai entendu parler de cette auteure mais je ne connais pas cet ouvrage.
Bise
Anna Liva
12 juillet, 2018 à 7:14
Coucou
Ce petit vers je le note et le préfère bien plus qu’à la maxime sur l’espoir !
Sylvie tu n’en diras pas plus sur ce qui t’as fait réfléchir et sur quoi ?
Quoiqu’il en soit je suis contente de cette réciprocité. Ce post m’a parlé entre les plis des méninges et c’est de là que j’ai écrit. C’est pourquoi j’aurais aimé en savoir plus car en fait ce n’était pas très réfléchis pour ma part
Bise !
crystallia
13 juillet, 2018 à 1:16
J’ai mis du temps à réaliser combien les blessures de trahison sont particulières.
J’ai compris pourquoi la cicatrice dans ma salle de bain.
Ce n’était pas tant les actes, c’était la trahison de part et d’autre.
Bise
crystallia
12 juillet, 2018 à 1:35
Tant qu’il y a du cœur il y a de la vie.
Et avec le pardon, peut arriver la magie.
Bise
Emilie
12 juillet, 2018 à 0:38
Bonsoir Sylvie,
La dernière fois que j’ai pardonné et tout laissé aller, je n’ai pas pu m’empêcher de demander de ne pas devoir revivre une autre rencontre avec la personne qui m’avait trahie ; je voulais en rester là et ne pas essayer de réparer plus tard dans une autre vie (j’avais le sentiment que c’était un loupé et que je ne pourrai plus jamais avoir confiance). Ensuite je suis tombée malade et j’ai du faire l’effort de guérir quand même et d’aller au delà de ce que j’aurais voulu ignorer. That’s life et ce n’est pas fini …
crystallia
11 juillet, 2018 à 22:58
Bonjour,
Que de messages, j’étais juste incapable de répondre d’un coup, d’où ma réponse tardive.
Alexandre, j’ai reçu la visite d’une vieille connaissance décédée il y a quelques temps déjà. Son message court et simple a suffi à me faire comprendre qu’un cap est passé concernant ces vies antérieures.
Mais je te remercie de nous avoir fait découvrir cette personne.
Je te crois pour ce qui est de ton ressenti Passeuse, ma mère aussi se sent poussée à transmettre ces messages où à aider comme elle le sent.
Donc je t’assure que je comprends ce que tu ressens.
Pour ma part, j’écris par envie et mon inspiration ne se développe que dans deux cas de figure, l’envie et la nécessité.
C’est pour cette raison qu’il m’est impossible d’écrire sur un sujet qui ne me touche pas ou qui ne m’intéresse pas.
C’est pour cette raison que je me garde de vous proposer de me soumettre des sujets.
En fait c’est simple, soit j’ai besoin soit je suis dans le plaisir. Les deux peuvent se combiner à l’occasion.
Et les rares fois où je dois faire passer un message absolument, je trouve le moyen de le faire en utilisant mon empathie.
Et qu’est-ce que tu penses de ce qui est juste pour soi ? Juste dans le sens de justesse.
Une grande prêtresse, hors de tout contexte ça ne veut rien dire.
Dans un contexte donné, il faut se référer à la civilisation concernée pour orienter ses recherches. C’est pareil pour la prêtresse, il faut tenir compte du contexte.
C’est souvent que j’ai pu constater que l’initiation spirituelle pousse à la recherche historique, scientifique, littéraire…
Mais c’est ce qui est bien, il y a tant de choses à découvrir en ce monde.
Liliane, quelle croix portes-tu actuellement ? Pourquoi tu te contentes pas de la poser, je veux dire, remplace-la par une toute petite et légère que tu pourras porter avec plaisir. Un de ces jolis modèles épurés avec un petit diamant. J’aime bien ceux-là.
Sinon, je te vois bien faisant mumuse…
Mais pourquoi ils te rattrapent pas le coup ? C’est chaud quand même dans l’Ombre on vous laisse vous prendre les claques.
Et j’aime bien la chanson, je ne connaissais pas non plus.
Carène, je suis d’accord avec toi, c’est important de savoir identifier ses états d’âmes.
Lucie, j’adore l’image du postérieur dans les ronces. Moi aussi j’ai déjà dit à mes guides que la prochaine fois, je veux passer ma vie au milieu des pétales de roses, pas dans les épines.
Ils m’ont répondu, aime et tu ne verras plus que les fleurs.
Toi et moi on sait que ce n’est pas du premier degré. Ce n’est pas plus mal.
Bise
Carène
11 juillet, 2018 à 10:22
Coucou
Merci pour le partage Liliane.
Le clip illustre magnifiquement le message.
Bises à toutes les 2
Anna Liva
11 juillet, 2018 à 6:36
https://m.youtube.com/watch?v=LXXQLa-5n5w
Coucou
Hope-là une musique de plus sur ma playlist de l’été ! Merci Liliane. J’aime comme tu t’épanches
Je trouve le clip classe aussi. Ci-dessus il veut pas se coller en dessous lollll
Bise bizhappy !
Liliane
10 juillet, 2018 à 22:42
Coucou
Carène, il y a une chanson de Beyoncé que j’aime beaucoup, Pretty hurts, il est question en gros de toutes ces choses que nous sommes amenés à faire pour satisfaire aux critères mais au final une question demeure, est ce qu’à la fin de la journée quand tu as enlevé tout ce superflu tu es toujours heureux de toi, elle elle dit oui en tout cas. Je partage quand même les paroles avec tout le monde
Mama said, you’re a pretty girl
What’s in your head it doesn’t matter
Brush your hair, fix your teeth
What you wear is all that matters
Just another stage
Pageant the pain away
This time I’m gonna take the crown
Without falling down, down
Pretty hurts
Shine the light on whatever’s worse
Perfection is the disease of a nation
Pretty hurts
Shine the light on whatever’s worse
Tryna fix something
But you can’t fix what you can’t see
It’s the soul that needs the surgery
Blonder hair, flat chest
TV says bigger is better
South beach, sugar free
Vogue says
Thinner is better
Just another stage
Pageant the pain away
This time I’m gonna take the crown
Without falling down, down, down
Pretty hurts
Shine the light on whatever’s worse
Perfection is the disease of a nation
Pretty hurts
Shine the light on whatever’s worse
Tryna fix something
But you can’t fix what you can’t see
It’s the soul that needs the surgery
Ain’t no doctor or therapeutic that can take the pain away
The pain’s inside
And nobody frees you from your body
It’s the soul that needs surgery
It’s my soul that needs surgery
Plastic smiles and denial can only take you so far
And you break when the paper signs you in the dark
You left a shattered mirror
And the shards of a beautiful girl
Pretty hurts
Shine the light on whatever’s worse
Perfection is the disease of a nation
Pretty hurts
Shine the light on whatever’s worse
Tryna fix something
But you can’t fix what you can’t see
It’s the soul that needs the surgery
When you’re alone all by yourself
And you’re lying in your bed
Reflection stares right into you
Are you happy with yourself
It’s just a way to masquerade
The illusion has been shed
Are you happy with yourself
Are you happy with yourself
Yes
Et le reste… C’est le reste, belle soirée à tout le monde, les bleus sont en finale mais il y’a boulot demain.
Bises
Lucie
10 juillet, 2018 à 19:01
Bonsoir,
Je suis en plein règlement de mes relations familiales depuis l’enfance , et même depuis la période prénatale, jusqu’à aujourd’hui. C’est remonté d’un coup!
Mazette, si en plus je me colle aux vies antérieures, j’ai pas le postérieur sorti des ronces…..
Je suis tout à fait consciente de nos vies antérieures, mais pour le moment ce n’est pas mon actualité. Si ce n’est qu’il y a quelques jours j’ai dit « alors là les guides quand je rentrerai à la Maison c’est sûr on va remettre les pendules à l’heure, il est hors de question que je signe pour une nouvelle vie telle que celle là »! Ne riez pas!!!! En plus je suis tout à fait consciente qu’il y a pire, il y a toujours pire.
Merci Anna Liva, Liliane et Carène, vous m’avez apportée des pistes de réflexion.
Merci à tous pour ces moments de partage.
Bonne soirée, et bises à partager.