Bonjour à tous,
« Et sous le soleil radieux, apparait enfin le village.
Il reste quelques kilomètres encore mais cette fois, il est là,
Tout proche.
Et sous le soleil radieux, tu profites du ciel bleu.
Tu t’assieds un instant dans l’herbe, à côté du chemin,
Rien ne te presse, tu as tout ton temps,
Il est là, il ne disparaitra pas.
Tu souris, tout ce qui doit arriver arrive toujours…. », me dit Sélène.
Merci à toi.
Bonne journée à tous
Anna
16 décembre, 2018 à 7:09
Coucou
Tout à fait moi oui je m’en rend compte que je n’ai pas le doigt dessus
Mais, la quête n’était pas trompeuse, Sylvie. Pas plus que d’autres. Il s’agit toujours de finir par se découvrir Soi. Ce que c’est vraiment ce Soi. Partir en quête est déjà une illusion donc que ce soit sur le domaine sentimental ou un autre domaine difficile c’est la même tromperie qu’on se fait à soi-même non ? jusqu’à cesser d’être dupe et dupé ou un peu moins disons. Pour moi il y a toujours des constructions mentales qui font encore barrage. Sinon je n’aurais pas besoin de t’écrire ici. Mais ce n’est pas grave. C’est agaçant, j’en conviens. Ce n’est pas vain.
J’ai compris ici que c’était la quête la plus adaptée pour moi que celle du travail des amis/la famille ou de la spiritualité (celle-ci je l’avais choisi un temps pas les autres) pour mettre le doigt dessus justement. Dans ton chemin inverse tu pourrais en arriver là. LooL
Merci pour les deux questions de Gabriel et leur réponses. Elles me confortent dans ce que j’ai appris cette fois. La certitude de pouvoir aimer à nouveau ce n’est pas le problème chez moi lol la certitude de pouvoir m’aimer à nouveau c’est le nécessaire travail en cours dont je suis certaine qu’il ouvrira sur aimer à nouveau. Je vais le mener à terme cette fois plutôt qu’une autre expérience pour apprendre toujours la même chose sans le réaliser vraiment.
Dans vos réponses je comprends tout à coup mon difficile lâcher prise qui va boucler la tâche, je pense. Il tient à cette formulation « s’aimer à nouveau ». Je suis une nostalgique des Ex. Cette fois encore je n’y coupe pas tout en mesurant qu’il y a un chmilblick là-dessous que Gabriel nous donne aujourd’hui. J’ai pris la forme réflexive pour une forme relative. « Se aimer soi » que je prenais pour « Se aimer nous », de nouveau. Je me trompais. Vous m’éclairez ! Un spot en pleine face
Je vais reprendre tout ça dans le bon sens.
Et certes, il sera important que je sache apprécier ce moment. Je me dis que je l’ai déjà vécu et que je n’ai pas su.
Et je vois plus nettement en quoi consiste l’empreinte répétitive chez moi.
Allez ! Je ne t’embête plus avec ça. Merci à toi et Gabriel.
Bise !
crystallia
16 décembre, 2018 à 3:36
Sans aide extérieure c’est-à-dire sans le regard d’un homme amoureux effectivement.
Ce matin Gabriel m’a demandé, quelles sont les deux premières choses à se rappeler après une déception sentimentale ?
La réponse était, la certitude de pouvoir s’aimer à nouveau puis la certitude de pouvoir aimer à nouveau.
Quand ce qui alimente le bien-être se trouve en soi, le monde ne s’écroule pas. Seuls les édifices branlants se retrouvent à terre.
Et nous, on n’est déjà plus dedans au moment où ils s’effondrent.
Alors certes on voit la ruine de nos constructions. Toutefois, on demeure entier. Avec deux bras et deux jambes pour pouvoir continuer.
D’abord on vise la survie, ensuite c’est une question d’ouverture spirituelle. Soit on a envie « d’autre chose » soit on veut surtout se remettre en couple à court ou moyen terme pour diverses raisons qui se valent en réalité toutes.
Le domaine sentimental domaine difficile implique une quête trompeuse. Souvent ce n’est pas la personne idéale pour soi mais son vrai soi que l’on cherche.
Certains s’en rendent compte sans pouvoir mettre le doigt exactement dessus, comme toi.
Je te souhaite d’apprécier le moment où tu réaliseras que tu as rencontré quelqu’un à l’esprit différent.
Bise
Anna
15 décembre, 2018 à 19:47
Coucou
Merci Sylvie !
Le lieu commun il m’a demandé quelques expériences pour l’assimiler…lolll et ce blog. Alors, tu fais bien de le répéter. C’est jamais de trop.
L’empreinte primordiale c’est notre premier amour. Et c’est celui qui nous a lié à nos parents ou leurs du substituts. Il y a nécessité de s’en affranchir pour s’ouvrir à un nouvel amour. Sinon tu as raison c’est lassant. Que de répétitions si l’empreinte fût lourde ! Là aussi à chacun la nature de cet amour primordial et l’empreinte qu’il aura laissé. A chacun son temps nécessaire et son expérience pour s’en affranchir, s’il en a conscience et si il le veut vraiment. Quelques décennies pour ma part là aussi.
Merci pour ta proposition de formulation de ma demande. Je faisais en effet encore fausse route avec la mienne. Avoir assimilé le fait d’être bien seule avant d’être deux c’est exactement cela : Être avant tout épanouie en tant que femme. C’est ce que j’aimerais réaliser : ça comprend entre autres maison travail finances relooking et éducation de mes enfants. C’est ce que je réalise en fait. Mais c’est comme si je rechignais. Allez Anna ! Lâche l’empreinte !
Par contre, je ne comprends pas le « sans aide extérieure. » Sans que personne et surtout pas un homme participe à cet épanouissement ? Je considère que consulter un blog, faire une thérapie, parler à des amies sont des aides exterieures non ?
En tous cas, Je vois très bien en quoi par cette demande de réalisation un nouveau chemin peut alors s’ouvrir et m’offrir de rencontrer une personne avec un esprit différent qu’à ce jour et avec lequel je m’entends. Un homme épanoui comme je le serai ou au moins en cours voire en cours plus avancé que moi lolll
Je la sens bien mieux cette demande plutôt qu’une histoire (de plus) même différente ! Ouf !
Encore merci.
Bise !
crystallia
15 décembre, 2018 à 18:12
La raison pour laquelle les histoires sentimentales des autres m’intéressent peu est que le plus souvent ils ont une histoire à un moment de leur vie qui est celle qui va servir d’empreinte.
Ainsi se suivent une, deux, dix histoires qui seront toujours marquées de cette première empreinte d’une manière ou d’une autre.
Je vais te sortir un énorme lieu commun, pour pouvoir être bien à deux il faut savoir être bien seul.
Il faut savoir lâcher l’empreinte.
Tu dis vouloir vivre une histoire différente. Méfie-toi, si c’est ce que tu demandes c’est ce que tu obtiendras.
Demande à trouver l’épanouissement en tant que femme. Sans aide extérieure.
Tu vas te voir proposer un chemin. Sur cette route-là, tu trouveras une personne à l’esprit différent, avec laquelle tu pourras t’entendre.
Bise
Anna
15 décembre, 2018 à 14:23
Chère Sylvie
Je suis arrivée sur ce blog avec une peine de cœur qui se doublait de l’intuition que l’homme en question avait abusé de ma confiance et m’aurait envoûté. Classique si j’ai bien compris comme porte d’entrée sur ton blog. Ce qui compte c’est d’y être entrée. Et la question à résoudre etait qu’est ce que le véritable amour ? Qu’est-ce que l’amour inconditionnel ? Qu’est-ce que la magie de la Vie et de l’Amour ? Pourquoi me suis-je laisser prendre à celle-là que ce soit une réalité ou que je l’imagine ? A quoi ça me sert ? Faut-il et comment me venger ou pardonner pour avancer ? Etc…
Le divorce avec le père de mes enfants m’avait conduit à pratiquer le zen soto durant deux ans et m’a amené à rencontrer un homme éveillé qui m’a fait envisager la spiritualité autrement. Quand je l’ai vu installé dans ce calme du « il n’y a rien à chercher bien que j’ai passé des années à le faire avec passion et détermination » je me suis dit dès que je l’ai rencontré : « je veux être comme lui ». Tout en entendant de sa part « c’est déjà qui tu es ». C’est autre chose de le réaliser. En tous cas ça m’a fait envisager ma « recherche » autrement. Je savais que chercher est une illusion qu’on peut poursuivre longtemps. Je voulais réduire ce temps m’eveiller a cet autre chose. Conscience que j’ai depuis longtemps. Que je n’admets peut-être pas assez. Pendant tout ce temps, et grâce à ces rencontres, j’ai fait le deuil douloureux d’un idéal familial et de mon mariage.
Avec toi, je mesure que le temps à parcourir sur notre chemin semble déjà écrit et qu’il ne mènera pas nécessairement à cet éveil, cet Absolu que j’ai ressenti chez Bernard. Le bonheur peut être quand même au rdv. Revenir comme tu me le conseilles à une « quête » moins absolue. Ne plus l’envisager comme un état où toutes les constructions mentales seraient réduites à néant mais plutôt continuer à faire un pas après l’autre et les laisser se déconstruire ou pas. Que ce soit moins ça l’important que de vivre qui je suis avec mes croyances limitantes comme epanouissantes. En posant un regard intérieur aimant sur moi sans besoin de celui de l’extérieur et surtout exclusivement celui d’un homme amoureux.
C’est clair que le domaine sentimental est ce qui m’amène à explorer ma spiritualité. J’en suis toujours un peu gênée d’en parler ici car c’est le cadet de tes soucis voire ça t’ennuie. Et en même temps, que ça soit ton domaine facile, m’a permis de mieux réaliser pourquoi il a une telle place dans ma vie et qu’il est un domaine pas facile pour moi. Et l’accepter. Il est le lieu qui me confrontent aux barrières à lever aux portes à ouvrir. Fontaines j’ai bu de vos eaux comment en suis-je abreuver ? C’est la question que je tente de résoudre à la suite de toutes sollicitations amoureuses et affectives.
Ce sentiment d’etre envoûtée ou l’idée même de flammes jumelles se sont accompagnés de beaucoup de solitude car difficile à partager avec mon entourage qui me trouve déjà bien assez mystique comme ça lol. J’ai découvert ici le concept d’âmes jumelles qui rendait l’histoire plus jolie et redorer mon narcissisme. Mais, le résultat est le même : Me raconter des histoires plutôt que regarder ce qui est. A l’intérieur et à l’extérieur. Flammes jumelles ou envoûtement, par le biais de ton site (d’autres sites nous égard avec ces sujets) cela m’a surtout révélé d’autres aspects de mon Etre tout comme celui d’ombre et de lumière m’a donné accès à ces deux facettes intérieures et extérieures. Sans jugement.
Le fait que tu sois médium et parle avec les anges et archanges faisait résonnance avec cette solitude alors qu’on a besoin de partager. Comment vivre sa différence, sa compréhension son intuition de choses subtiles difficiles à partager avec l’entourage proche ? Comment agir sa spiritualité au quotidien ? Comment la matérialiser simplement ? Comment se sentir aimé et se savoir l’être par delà les rapports humains ? Tes dialogues avec eux me confirmaient qu’il y a autre chose. Mon intime conviction comme lors de ma rencontre avec Bernard que ton expérience fait partie de ce « je ne sais quoi » a suffit à réconforter ma conscience de cet autre chose auquel je n’ai pas accès. Obstrué je suis d’accord par mes pensées. Bien que c’est pas facile à entendre qu’on fait sois même obstruction. Aujourd’hui, je me sens simplement heureuse que d’autres puissent le vivre et j’apprécie ton partage. Je suis moins inquiète et désespérer de ne pas réussir à y accéder de façon palpable. Je ne situe plus pour moi le Bonheur dans l’accès à ce monde invisible. Ce n’est pas ma quête.
Te lire et écrire ici était une compagnie. Une compagnie nourrissante et rassurante pour ma vie spirituelle dans ce moment. La peine de cœur semble panser. Même si je me dis qu’il ne faudrait peut-être pas jeter l’eau du bain et le bébé avec, c’est sans doute ce temps d’une fin de deuil amoureux qui me porterait à « partir » mais….
Il y a eu des partages ici qui ont dépassé la simple compagnie virtuelle et des réponses qui continuent d’étancher ma soif bien que je ne suis plus déshydratée lol. Tes questions aussi. Comme celle de qu’est-ce que je veux réaliser dans les prochains mois ? Cette question et ton témoignage m’ont beaucoup émue. Émotion qui me parle d’Amitié.
Tu me fais mesurer que ces derniers mois justement très centrée sur ma vie spirituelle et sentimentale j’ai perdu quelque peu le fil de ce que je veux réaliser concrètement. Ma créativité est au point mort malgré maintes sollicitations.
Tous les astres me prédisent un grand Amour là où ce n’est que le calme plat. Je dois être à ces carrefours que j’ai atteint souvent : qu’est ce tu fais maintenant de la leçon spirituelle apprise ? Comment elle pourrait se matérialiser ? Et je n’arrive pas à faire un seul pas.
Dans les prochains mois j’aimerais que mon activité libérale prenne de l’ampleur car c’est ce que j’aime faire. Que l’abondance matérielle en découle. Que mon sentiment de richesse et sécurité intérieur se manifeste extérieurement. Comme finir la déco de ma maison et l’aménagement du jardin de mes rêves cet été. Que je ne vive pas l’épargne (que je n’ai pas) comme une peur de manquer (que je n’ai pas vraiment d’où je pense l’absence d’épargne) mais comme l’occasion et l’opportunité que je me donne de réaliser mes rêves (voyages seule ou en famille, garde robe, maroquinerie, déco maison, aménagement jardin, offrir à ceux que j’aime…).
Je fais une formation en ce moment qui me booste pas mal. Le développement de cette activité libérale se fait sentir depuis que j’ai commencé cette formation mais j’ai eu d’autres fois ce sentiment sans que ça démarre vraiment. Finir ma maison et le jardin me laisserait l’esprit complètement libre pour le côté pro.
Autre chose, on m’a sollicité pour écrire et exposer sur le sujet de la création (justement) dans mon domaine d’activité pro. Une occasion de me lancer moi qui veut écrire depuis longtemps. Je câle. Ce doit être écrit pour exposer mi-janvier. Je n’ai pas commencé.
Avec une amie on ouvre un atelier d’écriture. Il démarre en janvier aussi. J’ai vu comme ce projet à deux est plus facile à réaliser pour moi. Surtout quand on est vraiment sur la même longueur d’onde. Je l’avais déjà tenté avec une autre personne moins amie. Ça n’avait pas fonctionné. J’aime aussi que ce soit une activité en groupe.
Évidemment, tu me vois venir ce que je veux réaliser d’autre et, prochainenement, c’est une vie sentimentale bien différente de ce que j’ai vécu à ce jour. La leçon spirituelle que j’en tirerai se partageant dans une relation amoureuse harmonieuse et épanouissante pour chacun des deux et non pas après une séparation destructrice où il faut à chaque fois se reconstruire même si c’est « en mieux ». Il y a plus doux et énergétiquement économique pour avancer. Une relation version économie durable
Ce que j’ai compris il y a peu c’est que cette quête d’Absolu avait déteint sur tout. Je suis devenue plus humble ce qui ne veut pas dire que ma vie sera moins passionnante et ma vie sentimentale ennuyeuse. C’est le temps de le vérifier peut être.
Tu m’excuseras cette longue bafouille.
Merci de ton attention.
Bise !
crystallia
14 décembre, 2018 à 11:29
Bonjour,
Anna, quelle est la recherche qui t’a amenée à trouver ce blog ? Et par-delà à trouver un premier point d’ancrage spirituel. Parce que c’est cette raison qui fait que certains passent ou ont passé un certain temps à me lire.
La quête spirituelle est vaste et a des influences sur tous les aspects de la vie.
Mais de temps en temps, on trouve un point d’ancrage c’est-à-dire une porte qui ouvre vers une fontaine. Celle qui nous offre l’eau dont on peut avoir besoin à un instant T.
Cette fontaine, ce n’est pas que ce qu’on trouve à l’extérieur à cet instant T. C’est aussi ce qui entre en résonance avec la Source en nous.
Moi-même quand j’ai commencé à faire des recherches, je me suis aperçue que j’étais surtout touchée par des témoignages de médium qui communiquaient avec les Anges avant de réaliser que je me sentais limitée dans ces lectures.
Il me fallait autre chose. J’ai dû développer en partant de moi à un moment donné mais cela ne s’est pas fait en un jour.
J’ai dû faire tomber énormément de blocages à commencer par le fait que pour moi, le monde était en 2D à la base. Je pensais qu’il n’y avait que ce que l’on voit autour de nous, qu’après la mort c’était le néant et que Dieu était surtout la béquille qui me donnait un appui à certains moments.
Pour trouver la Source et donc sentir la plénitude, cet état d’absence de recherches, il y a en réalité un long chemin qui diffère d’une personne à l’autre.
Je dirais que tu as parcouru déjà beaucoup de chemin mais qu’il te reste énormément de constructions mentales obstruantes à cette rencontre parfaite avec la Source.
Mais plutôt que de chercher à réduire à néant ces constructions mentales, je pense que tu devrais simplement continuer ta route comme tu la vis au jour le jour.
Parce que c’est en recevant une sollicitation puis une autre puis une autre que l’on peut aller vers cette rencontre à notre propre rythme.
Voilà ce qui s’est passé pour moi, je me suis mise à faire des rêves prémonitoires puis soudain j’ai perdu toute ma motivation pour continuer à étudier.
Dans le même temps sont arrivés des rêves spirituels.
Les sollicitations ont été très directes et beaucoup sur le moment m’ont paru violentes.
Je sais que ce n’est pas ainsi pour tout le monde.
Je pense que pour toi elles sont moins évidentes, toutefois, continue simplement de suivre celles que tu remarques à l’occasion.
L’impression d’avoir besoin de bouger, je connais. Je t’assure que je connais.
C’est effectivement une illusion qui nous renseigne surtout sur le fait que l’on est conscient d’autre chose, même si on ne sait pas trop quoi.
Qu’est-ce que tu aimerais réaliser dans les prochains mois ?
passeuse
14 décembre, 2018 à 8:43
Bonjour Sylvie
Bonjour Anna
Tout ce qui doit arriver arrive toujours,oui!
Parfois pas comme on se l’imagine, mais toujours arrive au bon moment.
L’impression que ça me donne, c’est maintenant, que la porte est ouverte, elle est ouverte_ j’ai envie de dire « quoi qu’il arrive »
Et toujours la confiance ,épanouie que la vie t’offre ce que tu as a recevoir.
C’est comme voir le ciel bleu tous les jours.
Pour moi, pas de retour en arrière, c’est ainsi et c’est ce que je veux et ce que je cultive!
Donc la vie est toujours belle!
C’est une certitude!
Je suis aussi heureuse pour toi Sylvie!
Je me dis que peut_être Anna, si tu as sans cesse envie de partir, c’est que tu n’as simplement pas encore trouvé ce que tu cherches.
Donc tu cherches partout.
(ps, je n’ai plus eu besoin de chercher quand je me suis trouvée) .
C’est juste une id!
Bonne journée à vous 2 et profiter bien du soleil!
Anna
14 décembre, 2018 à 8:30
Re : précision
Si tu veux bien répondre, et pour éviter des com à côté de la plaque, il faut considérer que ceux sont des questions au-delà des questions psychologiques et de développement personnel (réponse en lien avec abandon par exemple lol). Je m’adresse à une messagère pas à un psy… après bien sûr tu peux me renvoyer chez mon psy avec mes questions lollll
Bise !
Anna
14 décembre, 2018 à 8:20
Bonjour Sylvie
Comme c’est bon cette confiance retrouvée ou trouvée en la Vie : « Tout ce qui doit arriver arrive toujours ».
C’est très apaisant de lire Sélène ce matin. Je te vois paisible prendre ton temps le village en vue mais pas de précipitation et de sentiment d’urgence en toi. Merci à toutes deux. J’aimerais que s’installe de plus en plus en moi cette Évidence. C’est bon de sentir que c’est là pour toi.
Vient à la suite la question : pour qui l’effort et pourquoi et lequel ? L’effort d’une traversée de Désert si on fait ce choix mais il y a d’autres formes d’efforts pour simplement se souvenir de « ,Tout est parfait ». En faire l’épreuve, l’éprouver cette perfection pour soi et la vivre. Comme si ça, non pas se mérite mais, se gagne non pas comme une compètition mais, comme ce que l’on cultive. Pourquoi l’effort pour vivre ce qui est ?
Des fois je me décourage de pouvoir laisser vibrer ce paradoxe en moi chaque jour sans l’effort d’y penser et le conscientiser avant que de le vivre. C’est là qu’il faut laisser dire l’ego au risque de le voir gonfler ? Le reconnaître dans ce qu’il est et voir que je ne suis pas (seulement) cela et avancer avec lui ?
Si tu permets, je vais m’asseoir là, dans l’herbe. Près de toi. Un instant. Et comme chaque jour te regarder faire.
Ces derniers jours je me dis qu’il me faudrait même cesser de te regarder et au lieu de te suivre car ce n’est pas mon style de suivre et pourtant. Alors, il ne me reste qu’à m’en aller, te « quitter ». Comme si c’est ce qui me permettrait de sentir la Source et t’y rejoindre. Et je sais que rejoindre n’est pas le terme juste. C’est étrange comme sensation et je la sais sans fondement. J’avais besoin de t’en témoigner car je pense que tu peux m’éclairer sur quelque chose qui est récurrent chez moi et compte sans doute parmi les efforts inutiles : L’envie de partir comme si ce dont j’ai besoin est toujours ailleurs. Quitter quelqu’un pour se rapprocher de soi, le deux m’apparaissent finalement comme limitant alors que c’est ce que je souhaite être à deux. Je réalise avec cette expérience de te lire chaque jour comme un mécanisme très agissant en moi mais peut être pas très épanouissant en fin de compte. Partir-quitter serait un mouvement d’inertie en fait. Comment l’arrêter quand à chaque fois il me semble, bien que douloureux, un mouvement juste ? Sauf ici. De même que de venir te lire et écrire quasi chaque jour depuis un an. Rester est le pendant de partir-quitter. Quoi d’autre de possible ?
Pourrais-tu mettre en lumière ce qui cloche et où ça cloche ? Si tu veux bien.
Belle journée à toi au bord du chemin sous le soleil. Depuis cet article tu as peut-être repris le chemin mais j’espère toujours sous un ciel bleu et ensoleillé.
Bise !