Bonjour à tous,
Nous allons passer l’essentiel du mois de janvier au vert, dans un joli parc de Fort de France.
Nous allons en profiter pour aborder un même sujet (la voie sentimentale d’un point de vue spirituel) sous trois angles différents. Mais pas dans tous les articles à la suite. Je me lasserais. Vite.
Toutefois pour commencer, des amis à moi rencontrent des difficultés avec des attaques énergétiques. Nous allons donc aborder ce point en premier lieu.
Voilà ma façon de penser, si « on » s’en prend à vous dans l’astral, ne faites pas dans le détail, prenez un bazooka et tirez dans le tas.
Voilà ce que pense Roéchel, si tu ne renonces pas à cette vilaine idée tu ne pourras même plus tirer les cartes ou interpréter tes rêves pendant des mois.
Quelle profonde injustice n’est-ce pas ? Je suis sure que vous partagez mon avis, quand on est attaqué il faut se défendre. Mais non, on me parle de proportionnalité de la réponse à l’attaque et surtout de la prise en compte de la présence ou non de dégâts. Pire si dégâts il y a mais qu’ils sont réparables alors soi-disant il n’y a pas de raison valable de riposter !
Moi je pense autrement mais c’est toujours à ce moment-là que j’ai droit à ce discours inutile sur le fait que la vengeance est vaine.
Je sais que la vengeance est vaine. Ce n’est pas la peine de me le rappeler.
On a le droit de sortir son bazooka ! Non, d’après Roéchel qui est du genre super ferme…
Soi-disant qu’il n’y a pas de chemin correct au travers la colère et le besoin d’affirmer la supériorité de son ego.
On ne sort pas son bazooka parce qu’on est en colère, on y va parce qu’on a le droit de botter les fesses à celui qui nous a attaqué !
Mais non, Roéchel ne partage pas du tout ce point de vue et je préfère vous épargner son laïus sur les vertus de la sagesse et du pardon.
Bien sûr que je sais qu’il vaut mieux pardonner. Par moments j’ai juste l’impression que ce serait plus facile de le faire après quelques salves de bazooka.
Soi-disant qu’il n’y a ni réflexion ni sagesse dans cette démarche…
Il y a des moments où on ne se pose pas tant de questions !
Mais selon Roéchel, c’est dans ces moments-là qu’on devrait.
Il faut toujours qu’il ait le dernier mot.
Aussi, oublions le bazooka. La sagesse et le pardon, il a dit…
Où les trouver dans pareils instants, ils n’inondent pas nos cœurs alors, il faut bien l’avouer.
Mais justement, c’est grâce à nos failles et à ce qui n’inonde pas nos cœurs que les emprises, attaques et vampirisme énergétiques sont possibles.
Si l’amour et seulement l’amour trouvait place dans nos cœurs et nos existences, aucune entité ni aucun tiers ne pourrait jamais s’en prendre à nous.
Ils ne trouveraient jamais prise. Seulement ce n’est pas si simple, nous avons tous des failles plus ou moins faciles à exploiter.
Aussi, la meilleure manière d’agir est non pas de sortir le bazooka, je dois bien l’admettre, mais plutôt de cultiver l’amour et la foi en nous.
C’est facile à dire, je sais.
De manière concrète, nous devons apprendre à sentir ce qui résonne avec le beau en nous. Je prends un exemple très simple, c’est de cette manière que je prends des photos.
Je m’arrête devant ce qui me touche, que je trouve beau et que je souhaite immortaliser.
Avant de le partager.
Je sais bien que vous avez votre propre regard et vos propres loisirs. Vous savez ce qui vous touche.
C’est ce qu’il faut travailler et ne jamais négliger.
C’est de cette manière que nous pouvons développer notre lien au sacré et par-delà à la Source.
Car il faut bien garder en tête que plus notre propre part sacréE nous parait tangible et évidente, moins nous sommes susceptibles de subir des attaques.
Belle journée à tous
Amandine
9 janvier, 2019 à 19:34
Merci Sylvie!
Bonne soirée
Cel
8 janvier, 2019 à 23:33
Bonsoir,
Merci Sylvie. C’est une question très judicieuse, on ne peut pas être au four et au moulin en effet . La preuve ça crame, lol!
Bises
crystallia
8 janvier, 2019 à 22:38
C’est en pareil occasion que l’on peut se demander ce que l’on voudrait réparer en premier.
Il est également possible de préparer un bon tiramisu. Cela ne demande pas de cuisson et permet de constater que la cuisine, le lieu de la transformation des aliments, est toujours utilisable.
Bise
Cel
8 janvier, 2019 à 22:29
Bonsoir,
Alala effectivement, ma dernière fournée de biscuits a brûlé dans le four… Ma salle de bain est toujours inutilisable, elle est totalement vide, juste 4 murs. Et la fissure dans le plafond de la chambre de couplé vide commence à goutter de l’eau… Aïe.
On dirait que les biscuits et chocolat ne suffisent plus…
Bises
crystallia
8 janvier, 2019 à 15:18
Je vois bien ce que tu veux dire oui…
Mais effectivement, quand on regarde tout le chemin déjà tracé par nous-mêmes, on ne peut que continuer.
Bise
Emilie
8 janvier, 2019 à 12:40
Coucou Sylvie,
La salle de bain en question était celle dont se servent mes enfants et ce n’est pas ma salle de bain personnelle. J’ai du éponger l’eau répandue au sol et en cherchant l’origine de la fuite, j’ai vu tous ces tuyaux très haut au dessus d’un plafond absent (une sorte de plafond cathédrale mais avec de gros tuyaux et une véritable chute d’eau). C’est à ce moment là que j’ai réalisé que nous aurions du déjà être à l’aéroport pour prendre l’avion mais que nous n’étions pas partis à cause de mon père …
c’est assez simple à comprendre puisque le père de mes enfants a choisi de « partir » quand ils étaient encore petits. Aujourd’hui encore c’est difficile et douloureux pour eux et pénible pour moi de devoir tout assumer sans jamais pouvoir se reposer sur qui que ce soit car ce ne serait pas un cadeau à partager. Au moins c’est notre maison et nous ne sommes plus obligés de fuir même si les travaux de rénovation ne sont pas achevés. Certains travaux sont longs et coûteux alors cela se fait petit à petit, surtout que je prends en charge tout ce que je peux. Quand j’ai envie de crier que j’en ai assez, c’est là que je comprends que je peux avoir confiance en l’avenir en regardant tout ce qui a déjà été accompli. Ce n’est pas qu’une question de confiance; c’est que cela prend tellement de temps et que c’est si long que l’on s’impatiente (tu vois ce que je veux dire !)
crystallia
8 janvier, 2019 à 11:11
Bonjour,
Quand le beau en nous provoque la douleur ? Dans quel était est ta salle de bain ? Mais peut-être peux-tu également regarder dans quel état se trouve le four de la cuisine ?
La cuisine est le lieu de la transformation des aliments.
Le beau en nous est ce qui nous nourrit sur le plan spirituel.
Compassion et discernement, effectivement ! Cela évite d’avoir envie de fermer la porte à double tour comme cela peut m’arriver !
Cela permet une compassion plus éclairée…
Cam, trop lumineux, tu n’es pas la première à me faire ce genre de remarques. Je la comprends d’ailleurs.
Mais soit je fais comme ça soit je reprends le bazooka !
Bise