Un pas de plus sur la poussière, vent qui se lève doucement,
Rien que le vide, le néant, la Lumière, au loin.
Un pas de plus sur la poussière s’élèvent ces chants venus du ciel, ailleurs.
Poussière qui s’amenuise, toujours présente mais plus légère,
Rien ne se voit, rien ne se sent, seul un murmure, il semble…
Qui est là, enfin là, porte lourde et bras si faibles,
Peut-elle s’ouvrir dans une caresse ?
crystallia
23 mars, 2019 à 17:34
Coucou,
Certaines portes ne s’ouvrent que grâce à la douceur en effet.
Bise
jaoni
23 mars, 2019 à 8:30
Coucou,
D’une grande douceur ce poème…
Comme le bug informatique qui affiche chez moi Aucun commentaire alors qu’il y en a bien un au moment où j’écris et que j’ai bien actualisé l’affichage, ces mots sont à prendre tels qu’ils sont trop les analyser, je dis ça pour moi.
Belle journée
Dernière publication sur Le prisme de la Spiritualité : Heureuse année
Anna
23 mars, 2019 à 8:23
Bonjour Sylvie
Qui pourrait aspirer à la brutalité d’un geste ?
Le reçoit quand même peut-être celui qui ne s’est pas posé la question devant la porte, en son âme et son cœur : Peut-elle s’ouvrir dans une caresse ? »
Je te souhaite toute la douceur du monde.
Bise !