Bonjour à tous,
« Tu ne devrais pas aller dormir ? », me demande Gabriel.
Je vais y aller.
« Une difficulté te tient éveiller ? Veux-tu m’en parler ? »
Nulle difficulté, je me suis décidée à vider la petite étagère, ce que je ne voulais pas me décider à faire et je voulais me poser un peu avant d’aller dormir.
« Pourquoi ne voulais-tu pas vider la petite étagère ? »
Je savais que ce serait une galère. Elle débordait de partout. Mais je suis contente que ce soit fait, je l’avoue. Je vais en récupérer les paniers pour le meuble de la salle de bain.
« Ce n’est pas en faisant une montagne d’une tâche à accomplir que tu te rendras service. Comment t’y es-tu prise finalement ? »
J’ai regardé un film en même temps.
« Tu constates donc qu’en associant ce qui t’apparaît comme une corvée à quelque chose de plaisant, les tâches rébarbatives sont plus facilement accomplies.
Chaque fois que tu devras t’atteler à une tâche qui te donnera envie de fuir, souviens-toi que tu n’es pas en prison. »
Radicale comme image !
« Autant que la grille dans laquelle tu avais enfermé ton esprit en te focalisant sur le côté désagréable du tri de l’étagère. »
Je saisis…
Merci Gabriel.
Bonne journée à tous
Emilie
18 octobre, 2019 à 9:56
Coucou Sylvie,
La chanson appropriée : « ma maison est en carton, pirouette cacahouète … » parce que cela fait du bien de tourner en dérision ce qui ressemble à une montagne de cartons ! L’accessoire indispensable le scotch et puis plus tard, le tournevis électrique mais chaque chose en son temps. Bon week end