Bonjour à tous,
J’ai oublié de le dire hier mais cette semaine, nous sommes à Marseille !
Enfin, en photo.
« Un petit jeu ? », me propose Sammael.
Ok.
« Deux serpents, un noir et un blanc. Quand apparait le serpent doré ? Et où dort le serpent d’argent ? »
Ok, c’est la version plus poussée de ce que j’ai proposé la semaine dernière aux lecteurs. D’accord, je joue.
« Tu joueras confortablement installée dans ton lit.
Le but est d’apprendre à élever son esprit de manière à voir évoluer sa façon de penser.
Il ne s’agit pas de penser en termes de bon ou de mauvais serpent.
C’est juste, un noir et un blanc soit une situation parfaite car elles le sont toutes.
Quand apparait le serpent doré ? Comment faire pour accepter chaque situation. C’est ce qu’il faut comprendre.
Et où dort le serpent d’argent ? Je t’ai donné assez d’indices, à tes lecteurs aussi, maintenant vous pouvez jouer. »
Merci Sammael.
Bonne journée à tous
crystallia
27 octobre, 2019 à 11:51
Coucou,
Vos réponses sont toutes super intéressantes.
Je n’ai pas encore fait cet exercice pour ma part, je le fais maintenant.
Mon serpent blanc se tient face à moi, on dirait qu’il sourit.
Le doré est enroulé doucement autour de moi et l’argenté est à mes pieds.
Le noir dort pour sa part, dans mon monde intérieur…
Bise
Sapin
25 octobre, 2019 à 2:25
Coucou Sylvie, tous.
Deux serpents, un noir et un blanc dansent en faisant l’amour, telles deux énergies qui se répondent, d’ailleurs ils n’ont pas forcément corps. Comme Vimala mais sans notion de disque blanc, le serpent argenté est le socle, circulaire et fort dans la stabilité de sa posture.
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Les serpents noir et blanc jouent dans l’espace, dansent et à force, soudainement, la tête et le début du corps d’un énorme serpent sifflant gueule grande ouverte, type cobra, fait irruption du sol, des profondeurs.
Très sombre, d’un gris presque noir sans l’être, certaines écailles contrastent par un gris un poil plus clair un peu brillant, et quelques taches gris plus clair.
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En voyant que les serpents noir et blanc n’ont rien à faire de son entrée menaçante, il se calme, et se met à avancer et sortir de terre, traînant à la suite de son corps un souvenir de viol que je suis justement en train de travailler en psy. Ou plutôt, que j’approche. Les scènes sont dérangeantes de vivacité et de palpabilité. Il semblerait qu’on me propose de revisiter. Il n’y a maintenant rien d’autre que les scènes.
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Je préfèrerais être accompagnée pour me revisiter vraiment, alors je m’arrête là.
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Je trouve que tes photos ont pris une autre dimension depuis tes premiers posts où tu en as mis. Merci d’avoir décidé de les partager, elles aussi, en accompagnement de tes articles. Merci pour ta qualité de présence sur le net. Et d’avoir choisi plusieurs fois de continuer. Je ne compte pas le nombre de fois où le simple fait de te lire ici m’a permis de remonter mes énergies, et de me rappeler que la foi est possible, et pas juste une lubie.
Jolie journée et installation joyeuse !