Bonjour à tous,
Aujourd’hui ma sœur m’apprend que son trésor précieux est devenu le souffre-douleur d’un autre petit garçon à l’école. Cette situation n’est pas acceptable.
Il en était arrivé à avoir peur d’aller à l’école.
Naturellement ma sœur s’est rapprochée de la maîtresse. C’est elle qui a employé l’expression souffre-douleur. Elle dit que le jeune coupable s’en prendrait également à 5 autres enfants.
C’est tout aussi inacceptable.
La maîtresse dit que cet enfant aurait des troubles. Je veux bien, ce n’est pas une raison pour tolérer la situation. On ne peut pas le laisser terroriser les autres pour autant.
Elle dit avoir parlé au père de l’enfant en question, sans susciter son intérêt !
Toutefois un conseil serait en préparation car la directrice a eu des retours de plusieurs parents, dont ma sœur.
Je l’avais oublié mais j’ai vécu cette situation. J’étais à l’école primaire et il y avait cette petite fille qui m’ennuyait. J’en avais parlé à ma mère et elle était allée parlé directement à l’enfant. Avec succès.
C’est ma sœur qui me l’a rappelé.
Elle compte parler aux parents du petit garçon à son tour mais si rien ne change, elle parlera directement à l’enfant.
J’espère que l’une ou l’autre option sera suffisante.
Bonne journée à tous
Michael
10 novembre, 2019 à 12:35
Bonjour Sylvie,
J’ai vécu une situation identique. Ma mère est allée trouver la maman de Christophe; le garçon qui m’ennuyait. J’étais présent. Cette dernière avait laisser sous entendre qu’on était suffisamment grand pour se débrouiller seul. Ma mère a su trouver les mots pour la remettre à sa place. En effet, il ne m a plus jamais embêter.
Je l’ai revu quelques années plus tard dans une salle de sport. Il est venu s excuser de lui même. Il avait mûri.
J’ai appris par la suite qu’il avait mal tourné. Il était fort malheureux. Et solitaire. Il s’est pendu dans son jardin. Il avait une petite vingtaine d années quand cela s’est produit.
J’ai rencontré une situation identique avec ma filleule. Elle était harcelée par une fille plus âgée qu’elle. J’ai attendu la fin de l’école pour aller lui parler. Elle a eu assez peur de moi car je n’ai pas pu trouver les mots justes… Par contre, elle n a plus jamais embêter Audrey.
Bonne journée,
Michaël.
PS: Ton blog est utile. Merci de partager ton expérience.
crystallia
11 novembre, 2019 à 21:56
Bonjour Michaël,
Je pense que la difficulté est précisément de trouver les mots justes.
Je souhaite que ma sœur y parvienne.
Merci à toi.
Bise
Amandine
9 novembre, 2019 à 18:23
Bonjours Sylvie ainsi qu’à tous,
Dernièrement, je suis tombée sur ton article ou tu racontais comment tu t’étais positionnée face à une demande qui ne te semblait pas juste. Une femme inconnue voulait que tu lui paye du café.
Il était question d’apprendre à se positionner.
La pitié, le mépris faisait parties des sentiments liés à la peur, L’indifférence à là lâcheté il me semble. Un « non » sincère dit droit dans les yeux serait alors suffisant et marque donc de sincérité envers soi même et les autres. Le titre était 20 e je crois.
Puis, cela m’a ramené à ton dernier article ou vous aviez été les témoins de violence conjugale. il était question de ne pas accepter pour les autres ce que l’on accepterait pas pour soi même. Ou aviez réagi en fonction de votre cœur.
Enfin, j’ai regardé certain comportement familiale et les conséquences sur la lignée.
J’avoue que ça m’aide bien pour certaines choses à dépasser et accepter.
Neveu va peut être dépasser les tornades tout étant le plus cool et populaire de la bande.. en restant lui même quoi:) je lui souhaite aussi. Merci Sylvie
crystallia
11 novembre, 2019 à 21:54
Bonjour Amandine,
Merci à toi !
Bise
Emilie
9 novembre, 2019 à 14:29
Bonjour Sylvie,
J’ai du assister à un conseil pour régler une situation de ce genre avec un enfant en classe de primaire. Mettre tout le monde autour d’une table permet d’ouvrir un vrai débat. A la suite de la réunion j’avais trouvé indispensable de réconcilier les enfants et de parler aux parents car je savais que le père battait son fils pour le punir. Ce n’est jamais facile car il faut obtenir la collaboration des parents pour changer la dynamique. De mon côté et je n’étais pas le seul parent à m’en plaindre, je trouvais que les enfants n’étaient pas bien surveillés durant les récréations en maternelle.
Ceci dit, c’est une énorme responsabilité de veiller sur tellement de petits toute la journée.
crystallia
11 novembre, 2019 à 21:53
Bonjour Emilie,
Une grande responsabilité oui.
Pour finalement peu de reconnaissance sociale.
La gratification est ailleurs.
Quand les soucis et les difficultés n’occultent pas le reste.
Merci à toi.
Bise
Lucie
9 novembre, 2019 à 6:11
Bonjour,
Ma fille a vécu cette situation à l’école maternelle. C’était un petit garçon qui harcelait certains enfants.
J’avais choisi les méthodes traditionnelles sans succès !!!!
Mon mari a été à la sortie de l’école et a eu une explication avec l’enfant en plus le père était présent ce ce jour là.
Le problème a été très rapidement réglé.
Ces situations sont difficiles à gérer pour les enfants des deux côtés.
L’un est en souffrance et ne sait s’exprimer que par la colère envers l’autre, le second ne comprend pas trop pourquoi on est méchant avec lui.
L’un manque d’amour, l’autre a une vie normale avec un monde d’amour autour de lui.
Courage à ta sœur qui subit cette situation injuste, et de gros câlins à petit Neveu.
Bises
crystallia
9 novembre, 2019 à 12:26
Bonjour Lucie,
Merci beaucoup pour tes mots.
J’entends, l’un est en souffrance et ne sait s’exprimer autrement que par la colère. Mais je vais être honnête, pour l’heure ce n’est pas la souffrance de celui-là qui m’intéresse.
Bref…
Bise