Bonjour à tous,
Tout un ensemble de raisons faisaient que j’ai ressenti le besoin de faire une pause, une vraie pause.
Et tout un ensemble de raisons font que je ressens le besoin de me remettre à écrire aujourd’hui.
« La première de ces raisons est que tu as besoin d’apprendre à lire tes propres émotions. », me dit Ariel.
Lire mes émotions ?
« Oui, pour comprendre ce que tu ressens à chaque instant et pouvoir agir au lieu de réagir. »
Et comment est-ce qu’on fait ça ?
« Il faut que tu sois dans l’acceptation. Et non pas dans l’appréhension. Tu accueilles dans l’appréhension. Quasiment tous les événements. Du coup quand tu es heureusement surprise tant mieux mais quand ce n’est pas le cas, tu sors ton bazooka. Ma douce enfant. »
Justement, comment ne plus sortir le bazooka ou le bouclier ?
« Acceptation. Tout ce qui est ou qui arrive est normal.
C’est de ce point-là qu’il te faut partir.
Commence par réaliser qu’il est normal qu’un petit chat ait envie de jouer et qu’il a simplement besoin que tu lui apprennes que mordre n’est pas la bonne façon de jouer. »
Merci Ariel.
Bonne journée à tous 
Sapin
29 novembre, 2019 à 5:36
Coucou Sylvie,
Je trouve ça cool que tu prennes le temps pour toi. Au sens le plus large, que ton « temps » est pour toi, et que ce soit normal.
Pensés chaleureuses.
Merci pour tes partages, bonne journée !
crystallia
30 novembre, 2019 à 14:03
Coucou Sapin,
Merci à toi.
Bise
crystallia
29 novembre, 2019 à 0:36
Coucou,
Moi aussi je suis contente de vous retrouver.
Et d’écrire à nouveau.
Mon petit chat est très affectueux c’est vrai mais je ne savais pas que le fait de mordre entrait dans les jeux !
Acceptation…
Pas évident pour moi non plus en vérité.
Je travaille sur le sujet.
Merci à vous.
Bise
Johan
28 novembre, 2019 à 21:03
Bonsoir,
Je ne sais pas si c’est de la dépendance ou de l’amour, mais j’aime voir ce bouquet de commentaires pour nos retrouvailles
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Pascale
28 novembre, 2019 à 16:49
Bonjour Sylvie,
C’est pendant l’espace temps où tu vivais ton acceptation du besoin d’une pause, que la vie m’apprenait que « acceptation » ne signifie pas « résignation »
Comme une évidence en lisant le titre ce matin avec une joie réelle, et une nouvelle observation à vérifier, celle de l’appréhension comme accueil de relation. Un petit quelque chose me parle…
Bons jeux avec ce petit chat qui finira par accepter que mordre n’est pas jouer.
Alexandre
28 novembre, 2019 à 16:06
Bonjour Sylvie,
Je vais trancher et différer des autres commentaires en te remerciant pour ton article. Suis mort de rire car moi aussi, je suis réactif et appréhendé d’où ma tentation de sortir souvent le bazooka en paroles et en actes. Mais il faut vraiment que la personne m »ait blessé profondément pour que j’en arrive a ce point. Je dirais qu’avec l’âge et une certaine forme de sagesse, je sors le bouclier plus souvent… La seule chose pour laquelle je serai implacable c’est si on faisait du mal a mes chattes Lilith et chipie. Pour ton chaton, rassure toi son comportement est normal , il veut juste jouer et te montrer qu’il t’aime a travers une morsure . Les chats font souvent ça entre eux même si leur peau est plus résistante que la nôtre lol. Chipie a exactement le même comportement que ton chaton ;j’ai beau la gronder ,elle le refait a chaque fois. C’est une vraie tête de mule . ..lol Ariel a raison , parfois l’acceptation commence par un petit pas vers l’autre voire un petit geste. C’est un bon exercice qu’il t’a donne avec ton petit chat bises et la caresse a ton petit filou de chat mdr
Emilie
28 novembre, 2019 à 15:52
Bonjour Sylvie,
Je commençais à me dire que tu n’avais plus besoin d’écrire ! Ariel met toujours le doigt sur ce qui coince comme nos refus ou les émotions qui nous laissent désemparés. Un bazooka c’est indispensable quand une mouche nous agace (le spot qui me fait rire)
https://youtu.be/L9FQ2z1m4vA
Flo
28 novembre, 2019 à 13:47
Bonjour Sylvie,
Et bien heureuse que te reprenne le besoin d’écrire.
Le conseil d’Ariel est exactement ce que je lisais hier de Amma, et mes pensées y reviennent en boucle. Je le garde en filigrane, on verra quoi en faire à l’usage !
Suppression du bazooka alors ?
Bise et bonne journée.
Fleur
28 novembre, 2019 à 10:43
Bonjour Sylvie !
Je te souh
Fleur
28 novembre, 2019 à 10:47
Rhooo le message est parti !
Une belle journée à toi !
Est-ce que tu t’intéresse à l’astrologie ?
Bises Sylvie
et des caresses au p’tit chat !
Amel
28 novembre, 2019 à 10:14
Bonjour Sylvie,
Je suis désolée mais j’ai un peu de mal à accepter le discours d’Ariel, je comprends (en théorie) tout ce qu’il/elle raconte, mais dans les faits comment s’y prend-on ?
Dans les faits, comment fait-on pour ne pas avoir le cœur déchiré ? Comment fait-on pour ne pas être tiraillé entre ces 2 réactions : bouclier/bazooka ?
C’est un discours que je trouve bien facile à tenir quand on est perché dans une dimension où on est conscient du grand Tout, du « Nous sommes UN » et de l’Amour, et de la Source etc. Non, parce quand on est « à mon niveau », bien aveugle, incapable de rien ressentir d’autre que le « je » et le « tu », on fait comment pour accepter ?
Accepter ce qui parait n’avoir aucun sens, accepter de se sentir impuissant, accepter cette souffrance ?
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« Acceptation. Tout ce qui est ou qui arrive est normal. C’est de ce point-là qu’il te faut partir.
Commence par réaliser qu’il est normal qu’un petit chat ait envie de jouer et qu’il a simplement besoin que tu lui apprennes que mordre n’est pas la bonne façon de jouer.» (Ariel)
Il faut m’expliquer pourquoi si on accepte que tout soit normal devrait-on apprendre à ce petit chat à être différent ? Puisque que tout est parfait, tout est normal, pourquoi ne pas laisser faire ?
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Bref, je me sens perdue, et ce discours d’Ariel ne m’enchante pas du tout. Et évidemment, il tombe au moment où je me sens le plus vulnérable, ras le bol de leur méthode…
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Bises et merci Sylvie, désolée pour ce coup de gueule qui n’est destiné à personne en particulier si ce n’est au « MOI » !