Bonjour à tous,
Nous avons pratiquement fini la terrasse. Le résultat est déjà magnifique. Et c’est tellement différent de ce qu’elle était au départ !
Nous en sommes très contentes.
Ça me fait plaisir de voir les choses avancer dans la maison. Surtout si je repense au fait que l’an dernier à la même période, nous étions déçues à l’idée que nous n’aurions pas signé avant janvier.
Nous avons eu notre lit de découragement et de frustration avant de devenir propriétaires, la vente ayant pris du temps.
C’est dans de tels moments qu’il faut savoir faire preuve d’intelligence. Plutôt que de se laisser emporter par ses émotions.
Chez nous il n’y a jamais d’assiettes qui volent ou de mots volontairement blessants. Chouchou et moi ne sommes pas toujours d’accord sur tout. Mais il y a une façon d’accueillir les problèmes et les difficultés.
Et par expérience je peux vous dire que la méthode de mes parents, qui consistait à se blâmer l’un l’autre de la manière la plus blessante possible, ne vaut franchement rien.
Il faut savoir faire preuve d’intelligence devant une difficulté, un conflit ou un désaccord.
Il faut savoir accepter la frustration, la déception et l’agacement de l’autre. Même quand nous devons aussi gérer les nôtres.
Mais alors, comment gérer les nôtres dans un tel contexte ? En faisant preuve d‘empathie. Quand on traverse une difficulté à 2, il faut savoir dépasser le cadre du je.
Le très étriqué cadre du je. Celui qui nous empêche de nous rappeler que la souffrance de l’autre à la même valeur que la nôtre.
Comment développer cette empathie ? En partant de l’amour que nous sommes sensés éprouver pour nous-mêmes.
Et que nous devrions pouvoir ressentir quand soudain le tonnerre gronde.
Celui-ci se plante en nos cœurs et se cultive jour après jour. Il lui faut beaucoup d’engrais et de soins mais au final, il n‘y a que lui qui puisse nous accompagner dans chacune de nos difficultés en nous permettant de les accueillir.
Bonne journée à tous
Alexandre
12 décembre, 2022 à 21:24
Bonsoir Sylvie,
Je crois personnellement que l’empathie a ses limites. Et ce même si une voyante consultée m’a dit que j’étais un empathe.
Il est extrêmement difficile d’être empathique face à a des proches qui te jalousent (vis à vis des soi disants » avantages » procurés par ma maladie comme le fait d’être pour une certaine période radié de pôle emploi et de toucher l’aah) ou te souhaitent de ne plus être ici bas.
A ce niveau de malveillance, je prends la fuite et me protège avant tout.
Je crois qu’il est aisé de voir l’argent mais pas le handicap.
La réflexion du patron d’enedis sur les personnes non essentielles le prouve de manière flagrante. Après il est certain que faire des concessions dans un couple est la meilleure manière de le faire durer.
Je dirais que dans ce type de conflit, notre sagesse doit s’adapter à la situation et nous conseiller au mieux. Bises