Le calme nait dans le cœur, Grandit dans le cœur, Se cultive dans le cœur, Et rayonne à partir du cœur.
Le calme

Le calme nait dans le cœur, Grandit dans le cœur, Se cultive dans le cœur, Et rayonne à partir du cœur.
Les étoiles du ciel s’effacent, Soleil doré. Les fleurs blanches et roses se mêlent devant la ville qui se dresse, Toute proche. Fin du chant qui soulage et qui accompagne, Le silence des Cieux sera couvert, bientôt, Par les bruits de la vie, Soleil dans les cieux.
Loin le temps des soupirs, des regrets et des plaintes, Savoure la chaleur du soleil, Le retour de la Lumière, La douceur de l’été qui se devine, Enfin. Vois l’horizon, clair, net, dégagé, Regarde les ténèbres fuir, Accueille et souris.
Un pas puis un autre, Le soleil te guidant, Tu passes et repasses sur cette boucle qui s’enfonce, Jusqu’à ce que soudain, à la faveur d’un sourire tu lèves la tête, Les étoiles ne sont rien, la nuit est un mirage, Soleil réchauffe ton cœur par delà la nuit noire, S’élèvent tes pieds au-dessus du sol, tu trouves une autre …
Seule l’illusion se meurt un jour, La vérité brille de mille feux, aujourd’hui comme hier, Demain et à jamais.
Là où se croisent les vents, Apparait soudain le vent plus chaud, Le ciel rougit et les arbres rient à son contact, La mer au loin se calme, S’élèvent de nouveaux chants, Fin de l’hiver cyclique, Nouveau voyage cosmique.
Dans un murmure transporté par le vent, Est annoncée la grande nouvelle, L’heure est à la Lumière, enfin, Meurent la nuit, les ténèbres et le froid. Nouveau jour.
Dans le silence un air résonne, Seuls l’entendent Un et Une. Dans ce silence un air résonne, Seuls l’apprécient Elle et Lui. Car dans la paix un cœur résonne, Le seul, l’Unique.
Si les oiseaux et le ciel chantaient toujours à l’unisson, Les nuages dans ton univers ne seraient qu’un lointain souvenir, Soupire, une dernière fois, regarde les étoiles, Souris. Seul le bleu du ciel est réel, Seule la joie est éternelle.
Dans le calme du cœur s’élève un jour une voix Douce, limpide et apaisante, elle chante, Ses joies, ses rêves, révèle ses mystères, Mais qui peut l’entendre ? Y arrives-tu ? Y arriveras-tu ? Tu contemples le voile de la nuit et tu te dis, Jamais. Pourtant, dans le calme du cœur s’élève un jour une voix, Et son chant suffit à …
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